Description
Numéro 148 : janvier 2020
A qui profite le chocolat ?
1 / EDITO « Réformer » au profit du chacun pour soi / Le Rip ne s’use que si l’on ne s’en sert pas
3 / LIMA : Les habitants à la conquête de la rue
4 / Femmes : le journal des silencieuses / Portrait Tran To Nga, une vie de luttes
6 / 7 / Reportage : Emma pourchassée par les ondes / La puissance des opérateurs de téléphonie
12 /13 / infographie de la fève de cacao à la tablette de chocolat
14 /15 / Actu ZARA : des salaires injustes / Ils détruisent encore du savon / Grrr-ondes : Trop d’écran nuit aux apprentissages des enfants / économistes atterrés
16 / 17 / Lorgnettes rencontre avec Andrea Quintana, activiste franco-colombienne / Pour des logements vraiment sociaux
18 / L’atelier : Opération zéro déchet ! / Au jardin / Couture & Compagnie / Le coin naturopathie
20 / Fiche pratique : la lessive à la cendre
21 / La main à la pâte volume 2
DOSSIER 4 pages :
A qui profite le chocolat ?
Il y a plus de 4000 ans, les Mayas cultivaient déjà le cacao. L’arrivée des Espagnols en Amérique a marqué le début de la douloureuse histoire du chocolat, liée à la colonisation et à l’esclavage. Aujourd’hui, l’industrie chocolatière repose sur l’exploitation d’hommes, de femmes et d’enfants par quelques grandes entreprises. Une poignée de planteurs, transformateurs et chocolatiers tentent de construire des filières où le travail est rémunéré au prix juste.
_____________________________________________________________________________
L’âge de faire crée une maison commune !
La Maison commune ? Un lieu partagé dans lequel L’âge de faire aura ses locaux, aux côtés d’une MJC et d’une association écolo. Spectacles et expositions, animations d’éducation populaire, sensibilisation à la transition écologique, ressources sur l’économie sociale et solidaire, accueil de médias citoyens, accompagnement d’initiatives d’habitant·es…
Ce projet, auquel nous travaillons depuis plusieurs années, vise à créer un lieu d’émancipation, d’expérimentation et de convivialité, à la croisée du social, de l’économie, de la culture et de l’écologie. Pour le concrétiser, nous créons une Société coopérative d’intérêt collectif (Scic), qui va acheter et rénover le bâtiment de l’ancienne mutuelle de l’usine de Saint-Auban, au cœur de cette cité ouvrière de Haute-Provence.
On vous explique tout dans un supplément de 4 pages à télécharger