Description
Numéro 145 : octobre 2019
Au sommaire du numéro 145
1 / Edito Jamais assez ! / Elle veut gagner la bataille contre les pesticides
3 / Climat Un coup de chaud ? La chaux !
4 / Bolivie la lutte des travailleuses domestiques / L’entretien « Tout le monde déteste Amazon »
5 / Doc La part sauvage de Greenpeace / BD la philo par le rire / Ma petite entreprise : la mécanique du cœur / Cinéma Tënk
6 / 7 / Reportage en Malaisie, au cœur de la forêt
12 /13 / Petite géographie du palmier à huile
14 /15 / Actu À Athènes, « Ne touchez pas à Exarcheia ! » / Grrr-ondes La belle carrière de NKM / Economistes attérrés
16 / 17 / Lorgnette Une matinée avec Alicia, aide-soignante à domicile / Les pêcheurs du Buëch prennent la mouche
18 / L’atelier Opération zéro déchet ! / Au jardin / Couture & Compagnie / Le coin naturopathie
19 / Forum / Mots Croisés
20 / Fiche pratique : faire son papier recyclé
21 / Maison commune
DOSSIER 4 pages :
Travail social : c’est pas triste !
Le travail social, comme tous les autres, souffre des restrictions budgétaires, de la « rationalisation », de la montée en puissance des gestionnaires. Jeunes professionnelles, Maeva, Audrey et Odeline ne s’y résignent pas. Pendant six mois, elles ont visité des lieux où l’accompagnement des personnes fragiles reste ancré dans l’utopie. Nous avons conçu ce dossier avec elles, et nous vous racontons ces endroits où le travail social se construit au fil de l’humain, de façon résolument artisanale.
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L’âge de faire crée une maison commune !
La Maison commune ? Un lieu partagé dans lequel L’âge de faire aura ses locaux, aux côtés d’une MJC et d’une association écolo. Spectacles et expositions, animations d’éducation populaire, sensibilisation à la transition écologique, ressources sur l’économie sociale et solidaire, accueil de médias citoyens, accompagnement d’initiatives d’habitant·es…
Ce projet, auquel nous travaillons depuis plusieurs années, vise à créer un lieu d’émancipation, d’expérimentation et de convivialité, à la croisée du social, de l’économie, de la culture et de l’écologie. Pour le concrétiser, nous créons une Société coopérative d’intérêt collectif (Scic), qui va acheter et rénover le bâtiment de l’ancienne mutuelle de l’usine de Saint-Auban, au cœur de cette cité ouvrière de Haute-Provence.
On vous explique tout dans un supplément de 4 pages à télécharger