Description
Numéro 149 : février 2020
Ménage : qui fait le “sale boulot” ?
1 / Édito : Frustration en terrasse / Un « pacte » qui stimule le débat communal
3 / Film : Marcher avec les loups / Ma petite entreprise : un restau légumes
4 / Femmes “Black Feminism” en Afrique du Sud / Entretien avec Francis Hallé : « Une forêt tropicale humide ne brûle pas »
12 /13 / Carte des alternatives à Tours
14 /15 / Actu : La fausse annonce de Castaner / Grrr-ondes : 5G, le grand mensonge de la transition énergétique / Économistes atterrés :Statistiques de la pauvreté et pauvreté des statistiques en Outre-Mer
16 / 17 / Lorgnettes : Intimité chez soi : les rideaux bientôt obsolètes ? / Pesticides : « On n’arrive pas à protéger les populations »
18 / L’atelier : Opération zéro déchet ! / Au jardin / Couture & Compagnie / Le coin naturopathie
20 / 21 / Fiche pratique : Faire son bokashi
DOSSIER 7 pages :
Ménage, qui fait le “sale boulot” ?
Pour Roman, de la communauté Longo Maï, c’est « un révélateur de la qualité de vie collective ». Pour Ghislaine, employée de mairie, un métier qu’elle « n’aime pas », faute de reconnaissance. Ce mois-ci, L’âge de faire s’intéresse au ménage, dont la répartition est marquée par les inégalités de genre et de classe. En coloc, en entreprise, en famille, entre les couches sociales…
Si on partageait équitablement le « sale boulot » ?
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L’âge de faire crée une maison commune !
La Maison commune ? Un lieu partagé dans lequel L’âge de faire aura ses locaux, aux côtés d’une MJC et d’une association écolo. Spectacles et expositions, animations d’éducation populaire, sensibilisation à la transition écologique, ressources sur l’économie sociale et solidaire, accueil de médias citoyens, accompagnement d’initiatives d’habitant·es…
Ce projet, auquel nous travaillons depuis plusieurs années, vise à créer un lieu d’émancipation, d’expérimentation et de convivialité, à la croisée du social, de l’économie, de la culture et de l’écologie. Pour le concrétiser, nous créons une Société coopérative d’intérêt collectif (Scic), qui va acheter et rénover le bâtiment de l’ancienne mutuelle de l’usine de Saint-Auban, au cœur de cette cité ouvrière de Haute-Provence.
On vous explique tout dans un supplément de 4 pages à télécharger