Faut qu’on s’bouge
C’était le 6 novembre au matin. Un lundi. Nous, salarié·es de L’âge de faire, étions tranquillement assis autour de la table de réunion. La tisane était chaude, du café venait de couler, il y avait même des viennoiseries. Dehors, il faisait un peu froid, mais on s’en foutait, puisque nous avions fini l’isolation paille de…