Briques solidaires
Au nord de Rennes, la briqueterie Emmaüs Terre fabrique des adobes à partir de terres locales. Orane Bert, maçonne, a créé cette communauté pour proposer du travail aux personnes en attente de titre de séjour.
Au nord de Rennes, la briqueterie Emmaüs Terre fabrique des adobes à partir de terres locales. Orane Bert, maçonne, a créé cette communauté pour proposer du travail aux personnes en attente de titre de séjour.
Appelé Galline felici – « les poules heureuses » en français -, le consorzio* ne porte pas tout à fait le nom de ce qu’il vend : principalement des agrumes.
« L’antisionisme est une forme réinventée de l’antisémitisme » (1). Même le président Macron confond opinion politique et jugement raciste. Dans ce confusionnisme ambiant, on a voulu donner la parole à l’Union juive française pour la paix, un mouvement juif et antisioniste, par la voix d’un de ses porte-parole, Pierre Stambul.
Dans un quartier de Villeurbanne, des parents se sont réunis en association pour de l’aide aux devoirs. Onze ans plus tard, une centaine de familles profite du soutien scolaire, mais aussi des ateliers cuisine, du foot féminin, de la gym… le tout étant géré quasi-exclusivement par les parents eux-mêmes.
Nous aurions dû le faire plus tôt, mais la nomination, par Donald Trump, d’Elon Musk au poste de ministre de l’efficacité gouvernementale, nous aura servi de piqûre de rappel : en novembre, L’âge de faire a définitivement clôturé son compte sur le réseau X (ex-Twitter). On ne va pas en faire des caisses : ça ne fait…
Matériau local à très faible impact écologique, la terre crue est mise en œuvre par des artisans aux savoir-faire multiples, hors des standards de l’industrie. Alternative au tout-béton, elle est aussi un moyen de se réapproprier la construction, à condition de ne pas la couler dans le moule capitaliste… Rencontres avec les “terreux” qui font vivre une filière frugale et solidaire.
Un vidéaste, un scientifique et un petit groupe de coursiers réalisent ensemble un film autour des risques professionnels, dans le cadre d’une recherche sur la santé de ces travailleurs.
Chauffer sa gamelle, charger son téléphone, aller aux toilettes… Et aussi être accompagné face aux plateformes de livraison qui les exploitent. Boulevard Barbès, au nord de Paris, la Maison des coursiers offre un havre aux livreurs.