L’écoféminisme de « celles qui ont du sang sur les mains »
Loin du mythe des « tueurs d’oiseaux et des mangeuses de feuilles », Myriam Bahaffou, dans son livre Des paillettes sur le compost, nous invite à un écoféminisme « profondément non innocent, profane, sale », ouvert à toutes celles et ceux qui ne rentrent pas dans les clous de la norme. Pour que ce mouvement…